« L'homme n'est qu'un outil servant à accomplir le dessin de Dieu »

Nom *: Tatsu
Prénom * : Thales
Surnom :
Âge *: 14ans
Sexe* : Un mâle, un vrai!
Village *: Kirigakure
Grade *: Gennin
Clan : Tatsu
Affinités *: Hyôton
Don Héréditaire : Kekkei Genkai
Bijû :
Famille :
Liens avec d'autres membres : Aucun. Pour l'instant...

Objectif(s) : Marquer le monde Shinobi
Phobie : De la peur en elle même (Oui, je sais, c'est particulièrement incohérent)
Particularité : Précoce, très précoce!

Caractère

  Thales est un homme calme et sûr de lui. La pression semble n'avoir aucun effet sur lui. Cette ataraxie lui permet de garder son sang-froid et son flegme en toutes situations. Cette tranquillité innée lui donne une réputation de véritable force tranquille. Cette opinion renforcée par sa facilité à charmer ses pairs à l'aide de sa verve plaisante ou de sourires en coin valorisants. Ayant son humour bien à lui, sa présence apporte souvent la bonne humeur et la confiance à ses compères.
Mais s'il possède un côté doux, il ne faut pas pour autant délaisser le côté piquant du personnage. Être impatient et indocile, il ne se soumet que très difficilement aux directives des Hommes pour qui il n'a aucune considération. Pire, il n'hésite pas à dire ce qu'il pense, et ce, quelle que soit la personne en face de lui ou la situation dans laquelle il se trouve. Cette dernière caractéristique pourrait le faire passer pour un simplet, doublé d'un grossier personnage, il est vrai. Mais en réalité, s'il agit ainsi, c'est pour une raison bien plus noble : il suit un code de l'honneur extrêmement sévère et restrictif. S'il vit, c'est pour cet honneur, rien d'autre. Et pour être un homme honorable l’honnêteté et la franchise doivent être toujours respectées. Vous l'aurez compris, cette recherche permanente de l'honorabilité lui dicte une attitude souvent bourrue au vu de son éducation sur la forme... mais le fond n'en reste tout de même pas... honorable.

Apparence physique

Thales mesure environ 1m80 et possède une carrure assez athletique. Ses cheveux sont blanc-gris et coupés court. Ses yeux sont assez expressifs mais toujours sérieux. Son corps s’est développé au fur et à mesure qu’il forgeait des armes de plus en plus techniques. Il porte des vêtements classiques tel qu’un pantalon en cuir noir avec des renforts métalliques au niveau des genoux, une côte de maille très serrée recouvert d’un T-shirt noir et par dessus une veste trois-quarts en cuir rouge bordeaux.

Histoire

Ma plus tendre enfance ... Bref je ne m'en souvient plus :

   Ma mère, Nukennin de Kiri et fille d'un ancien du clan Tatsu, m'a donné naissance à la clinique du village, chambre 307. Ce jour là, la tempête menaçait et déjà de grands vents tapaient contre les fenêtres de la salle. L'accouchement fut long et lorsque ma génitrice en eut fini de moi, elle mourra. La clinique ne sachant quoi faire me livra avec quelques couches dans un des quartier les plus pauvre du village, c'est ainsi que mon grand-père due par la force des choses s'occuper de m'élever. Cette partie de ma vie je n'en ai aucun souvenir, en même temps j'étais petit, mais quand j'essaie de m'en rappeler c'est comme si je tombais sur un immense trou noir.

À partir de la je m'en souvient : (période de 6 à 12 ans)

Donc après cette brève partie de ma vie, la plus fastidieuse des parties d'ailleurs, on va pouvoir parler de moi. J'ai longtemps vécut avec mon grand père, mon père lui, agent double au sein de l'ANBU, était mort pour protéger ma mère et le reste du clan Tatsu d'une rébellion. Mon grand père était un homme pauvre; simple paysan, il ne gagnait pas aisément sa vie et la lourde charge que je lui infligeait faisait qu'en aucun moment, ni lui, ni moi ne mangions à notre faim. Et cette charge, malgré mon jeune âge, je la comprenais et tout les jours, quand je ne l'aidait pas au champs, je volais dans les rue commerçante de Kiri.

-Hé ! Le vieux ! J'ai faim ! Paye moi le ramen !
-Tu te prend pour qui merdeux !! Viens la que je t'en mette une !! Et..et..et Pourquoi t'es pas aux champs ?
-Fais ça et tu vas voir si je t'aide au champs !

Le soucis ... C'est qu'il l'a fait... Et étant homme de paroles, à compter de ce jour je ne l'aidais plus au champs. Comme je refusais toute aide à mon grand père il me chassa de la maison.

-Vas-t'en et ne revient jamais !!... Merdeux...

Je me retrouvais à la rue, seul comme une âme en peine. Je errait ainsi dans les rues pendant près d'un mois, ne me nourrissant plus que de ce que je trouvais et dormant sur les bancs. Mon errance me fatiguait et au bout d'un mois passer dans les rues je me décidais à prendre ma vie en main, craignant de ne jamais pouvoir manger à ma faim. J'effectuais des travaux simple chez les habitants de mon quartier et avec le peu d'argent gagner je m'achetais plus à manger qu'il ne m'en fallait réellement. Lorsqu'un soir, après une dur journée de labeur et le ventre bien plein j'allais m'endormir sur un banc, trois individu, dont je me souvient encore les visages, s'approchèrent de mon banc à pas rapide. Me sentant menacer je me levais et les trois hommes, âgé de quelque plus année que moi, me firent me rassir vigoureusement d'un coup dans les tibias. Ces derniers en feu, j'écoutais les explications de mes agresseur :

-Donne nous ton fric et dépêche toi, on a une soirée après ça. L'homme me souriait de toutes ses dents
-Hein ? Mais m'enmerde pas toi, va bosser plutôt que de venir raquéter un gars plus pauvre que toi, dis-je avec indignation

Ces dernières paroles ne m'obtenait guère moins d'ennui et sans même m'en apercevoir je me pris un coup de barre de fer sur le haut du crâne, ce qui eu pour effet immédiat de me faire sombrer dans un profond sommeil. Je tombais dans les pommes quoi !
Quand je me réveillais, j'étais allongé au sol, dépouillé de mes maigres économies. C'était la tête embrumé que je me levai péniblement. Ces trois la, je le jurais sur ma vie, me le payeront.
J'errais de nouveau dans la rue, cette fois-ci, à la recherche de trois individu, mes trois agresseurs et par un miracle que je n'explique toujours pas ce jour la, je les voyait assis à manger des ramen. Avant ce jour la, jamais je ne m'étais battu. Mais les voir assis la, a ce bar, en train de pouffer de rire, éleva chez moi une rage que je ne me connaissais pas. Ces ramens, sans doute les avaient-ils payés avec MON oseil ! Rapidement je me laissa submergé par la colère et je couru en direction des trois hommes.
PAH !! PAH !! PAH !! Mes poings distribuait des coups aussi rapide que l'éclair, mais bizarrement le combat semblait durer une éternité. En réalité je n'avais touché qu'un des trois hommes et avais été lyncher salement ! Je tombais dans les pommes quoi !
Mon deuxième éveil de cette, pourtant magnifique, journée fut plus long que le précédent, le ramen-man m'aida à me relever.

-Que m'est-il arrivé ? Demandais-je laborieusement
-Qu'est ce qui vous à pris de vous en prendre à eux, imbécile ! Trois ninja de notre village, tous chunin !
-Des ninjas ? Ok, merci monsieur, au revoir ! Je lui adressais un grand sourire et me mis en route pour l'académie ninja du fier village de Kiri.
-Pff, pauvre fou...

Il me fallut trois heures entières pour arriver jusqu'à l'académie qui ne se trouver pas du tout dans mon quartier. Je boitais et avançais difficilement. L'académie ninja était le seul endroit que je connaissais où je pouvais trouver des ninjas. Sur le long chemin que je parcourais, je pris le temps de réfléchir et ne m'estima pas assez fort pour arriver à vaincre ces trois hommes de qui je devait me venger. Une voie dans ma tête me conseiller de m'inscrire à l'académie et l'idée ne me parut pas mauvaise, quel autre moyen avais-je pour arriver à mes fins ? La seul solution était de m'endurcir comme un ninja puisque qu'il fallait s'en venger de trois.
Je m'inscrivais donc à l'académie ninja de Kiri, moi Thalès héritier du clan Tatsu. J'avais 12 ans.

Possessions

20 ryos au départ. Mis à part les shurikens et les kunais, aucune arme ne sera tolérée au départ sans achat.

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